Cigany Mohawk percute son répertoire tzigane à gros coups de satu et de lourdes rythmiques bass/batt.
Ainsi ballottée par le temps et l’espace qui s’entrechoquent, la voix gueule, s’emporte puis s’évanouit. Ici-bas, on ne s’embarrasse plus d’hypothétiques frontières linguistiques.
Seul survole au dessus du chaos un accordéon, à mi chemin entre le divin et la folie.
No patria, no border, Sao roma et Let’s punk !!